20131030

Le grand séminaire de Bayonne

RECHERCHES SUR L'ANCIEN GRAND SÉMINAIRE DE BAYONNE (-1905) 
ET SUR LE NOUVEAU (1914-1974)  

— Frédéric Sorhaitz —

Dans l'histoire de Bayonne, deux grands séminaires se succèdent. L'ancien grand séminaire, situé sur le terrain de l'actuelle cité Lahubiague, est évacué en 1906, suite à la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État. Il servira à loger les familles modestes de Bayonne jusqu'à sa démolition dans les années 1950. Le nouveau grand séminaire, dont la construction commence en 1914, est évacué en 1974 pour y installer le Conservatoire de musique qui aujourd'hui avec l'École des beaux Arts forme la Cité des Arts.



L'ANCIEN GRAND SÉMINAIRE DE BAYONNE : PLAN D'IMPLANTATION ET PHOTOGRAPHIES


1936. Vue aérienne de l'ancien grand séminaire de Bayonne. À l'intersection à gauche se trouve aujourd'hui un rond-point au-delà duquel se trouve, à gauche, le nouveau grand séminaire devenu la Cité des Arts. La place en forme de demi-cercle (photo) de l'avenue de Lahubiague existe toujours. L'ancien grand séminaire et ses terrains ont été remplacés par la cité Lahubiague.


1926. Plan parcellaire de l'immeuble de l'ancien grand séminaire et de ses dépendances. Source : Communauté d'agglomérations



 

Années 1920. Côté sud. Source : Recherches sur la ville et sur l'Église de Bayonne, Manuscrit du chanoine René Veillet, avec des notes et des gravures des abbés V. Dubarat et J.-B. Daranatz, tome III, 1929


Années 1920. Côté nord. Au premier plan : le séminaire confié aux doctrinaires par Mgr Druillet et l'ancienne chapelle. Source : Recherches sur la ville et sur l'Église de Bayonne, Manuscrit du chanoine René Veillet, avec des notes et des gravures des abbés V. Dubarat et J.-B. Daranatz, tome III, 1929


L'ancien grand séminaire, désaffecté en 1906, servira ensuite à loger les familles modestes de Bayonne. C'est là que plus tard, dans les années 1950, seront construites les premières habitations à loyer modéré de la ville : La cité Lahubiague. Source de cette photo et des suivantes : Pôle d'archives de Bayonne







À gauche de l'ancien grand séminaire, les prémices de la cité Lahubiague


La cité Lahubiague prend de l'ampleur avant la démolition des derniers vestiges de l'ancien grand séminaire



  

Bains douches de Lahubiague


LE NOUVEAU GRAND SÉMINAIRE DE BAYONNE : TRACES ÉCRITES ET PHOTOGRAPHIES


Chapelle de l'ancien grand séminaire (en bas à droite) et vue du nouveau grand séminaire (au fond) qui depuis 1974 abrite le conservatoire de musique


1914

« C'est aujourd'hui à 3 heures de l'après-midi que Monseigneur Gieure, Évêque de Bayonne, a procédé à la pose de la 1re pierre du nouveau Grand Séminaire qui sera construit sur le domaine de Sainte-Croix. » (Le Courrier de Bayonne et du Pays Basque, lundi 2 mars 1914)

« Lundi 2 mars, à 3 heures, Mgr l'Évêque a posé la première pierre du nouveau grand séminaire. Assistaient à cette cérémonie, qui a été très simple : MM. Les vicaires généraux, les membres du chapitre, le curé-archiprêtre de la cathédrale et quelques autres ecclésiastiques, parmi lesquels M. Le supérieur du grand séminaire ; MM. Guichenné, Ythurbide et Laxague, avocats ; MM. Saint-Vanne, architecte, et Decham, entrepreneur. Monseigneur a prononcé une courte allocution. On annonce que les travaux de maçonnerie sont confiés à la maison Décham, ceux de charpente à la M. Bertrix : ceux de zinguerie à M. Bordères ; ceux de peinture à M. de Véquy ; ceux de serrurerie à M. Lebas, et ceux de plâtrerie à MM. Mimiague frères. » (La Semaine de Bayonne, 4 mars 1914)

« Lundi dernier 2 mars, jour où l'Église célébrait la fête de saint Léon, l'évêque martyr de Bayonne, une cérémonie, touchante dans sa simplicité, avait lieu sur le plateau de Sainte-Croix. Mgr l'Évêque procédait à la pose et à la bénédiction de la première pierre du nouveau Grand Séminaire. La cérémonie a eu lieu sans bruit, sans éclat, dans une stricte intimité, comme il convenait dans les temps que nous traversons. Monseigneur avait invité MM. les vicaires généraux, MM. les chanoines, M. Le supérieur et M. L'économe du Grand Séminaire, MM. les curés de la ville. Trois notables de la cité épiscopale qui sont, on le sait, le conseil de l'évêché pour les affaires de jurisprudence et la sauvegarde des intérêts diocésains, M. Guichenné, député, M. Laxague, avocat, M. Yturbide, avocat, entouraient l'évêque. Le clergé diocésain était représenté par le premier groupe ; le second groupe représentait les catholiques des Basses-Pyrénées. Après une brève allocution, Monseigneur bénit la première pierre dans laquelle est scellée une boîte de plomb qui contient sur parchemin le procès-verbal de la cérémonie. Copie de ce procès-verbal est lue par M. Le Chanoine Lasserre, secrétaire-général de l'évêché. Avant de terminer la cérémonie, Monseigneur récite avec l'assistance quelques prières afin d'appeler les bénédictions du ciel sur les bienfaiteurs actuels et futurs de l’œuvre, et aussi afin que les entrepreneurs et les ouvriers soient gardés de tout accident pendant la durée des travaux. » (Le Bulletin religieux, dimanche 8 mars 1914)

« La première pierre fut posée et bénite le 2 mars 1914, le jour où l'Église de Bayonne célébrait la fête de saint Léon, son premier évêque. La cérémonie eut lieu sans bruit, sans éclat, pour ainsi dire dans une stricte intimité ! Il y avait là, cependant, avec les autorités diocésaines, les chanoines du Chapitre et tout le clergé de la ville. Des laïcs entouraient l'évêque, trois notables bayonnais qui étaient le conseil de l'Évêché pour les affaires de jurisprudence et la sauvegarde des intérêts diocésains : M. Guichenné, député, MM. Laxague et Yturbide, avocats. Étaient également présents l'architecte, M. Saint-Vanne et le chef de chantier, M. Sauces. Le chroniqueur du Bulletin Religieux écrivait le 8 mars suivant : ' Le chantier est dès aujourd'hui en pleine activité ; les travaux seront rondement menés, toutes les adjudications étant terminées et chaque entrepreneur étant parfaitement outillé '. Mgr Gieure voulut reproduire à Bayonne l'architecture du Grand Séminaire d'Aire dont il avait été le Supérieur et il se montra sur ce point intransigeant. » (Bernard Goïty, Secrétariat de l'Évêché de Bayonne, Histoire du diocèse de Bayonne, 2007, p. 407) 

1918 

« Nous croyons savoir que le nouveau grand séminaire a été loué par l'administration diocésaine à l'autorité militaire américaine. Ce magnifique établissement n'est pas encore complètement terminé mais, d'après nos renseignements, les officiers américains se chargent de pousser activement les travaux qui permettront de le rendre habitable. » (Le Courrier de Bayonne et du Pays Basque, 22 juin 1918)

1919

Lettre de Mgr l'Évêque à M. L'abbé Laurencet, Élève au Grand Séminaire : « En ce moment, je donne tous mes soins à l'achèvement du nouveau Grand Séminaire. Je le voudrais digne du diocèse de Bayonne, digne aussi des jeunes héros qui, au retour de la guerre, viendront l'habiter. Mais, et je le vois bien, le plus bel ornement du Séminaire, quoi que je fasse, sera encore cette troupe de jeunes clercs qui nous reviendra couronnée de lauriers, décorée de croix de guerre, de croix de la Légion d'honneur. Loin de m'en attrister, j'en éprouve un légitime orgueil qu'on pardonnera à un évêque. Je vous bénis affectueusement. Fr. Marie, Évêque de Bayonne. » (Le Bulletin diocésain, 9 février 1919)

« La Rentrée des élèves au nouveau Grand Séminaire de Bayonne aura lieu le jeudi 1er mai prochain. Aucune date ne pouvait être plus heureusement choisie. Au jour même de l'ouverture du mois qui lui est consacré, la Reine du clergé rappelle à Bayonne ses séminaristes absents depuis treize ans ! Cela portera bonheur aux jeunes élèves. C'est un gage de la protection du Ciel pour le nouveau Séminaire. Malheureusement, il n'y aura encore qu'une faible partie du troupeau, le plus grand nombre des élèves étant sous les drapeaux. » (Le Bulletin diocésain, 27 avril 1919)

« Retraite au Grand Séminaire : La première retraite des prêtres démobilisés vient de s'achever après avoir duré les huit jours exigés par le Souverain Pontife. Ils étaient une centaine parmi les plus anciens. La parole de M. le Chanoine Desgranges, toujours élevée, très littéraire, éminemment sacerdotale a été écoutée avec un religieux respect par un auditoire avide de recueillir tout ce qui peut l'aider à se dévouer, encore davantage, dans son travail si longtemps interrompu. L'aumônier militaire, qui pendant quatre ans a vu à l’œuvre les prêtres soldats, savait bien de quelle générosité ils sont capables quand il s'agit du devoir. » (Le Bulletin diocésain, 4 mai 1919)

« La rentrée des élèves au Grand Séminaire a eu lieu, comme nous l'avions annoncé, le jeudi 1er mai. Enfin, la ville de Bayonne reprend possession des élèves du Grand Séminaire, à la grande joie de tous ! Cependant le plus grand nombre est encore sous les drapeaux. On ne compte que douze théologiens et cinquante-cinq jeunes philosophes. Tous les directeurs, démobilisés, ont repris leurs cours. » (Le Bulletin diocésain, 11 mai 1919)

« Les élèves sont enfin tous rentrés au nouveau grand Séminaire de Bayonne ; tous, sauf ceux qui sont encore sous les drapeaux. C'est une belle communauté : cent-quarante élèves. L'année a débuté par une retraite. Le P. Guy, provincial des Franciscains, l'a prêchée. Il nous revient que cette retraite a été religieusement suivie et qu'elle laissera des fruits durables de grâce dans les cœurs des Séminaristes. La clôture de la retraite a été marquée par une double cérémonie : d'abord la prise de soutane par un grand nombre de jeunes philosophes, puis une ordination de deux minorés. C'est la première ordination qui s'accomplissait dans le nouveau Séminaire. Avant la prise de soutane, Monseigneur l'Évêque adresse une allocution au jeune auditoire, exprime les sentiments qui se pressent dans son cœur et le pénètrent d'émotion : Souvenir de l'expulsion, il y a 14 ans ; abandon du vieux grand Séminaire, l'exil, la guerre, les morts glorieux, le retour dans un Séminaire nouveau que la foi et la générosité des fidèles a permis d'édifier et de rendre digne du diocèse de Bayonne. Ensuite Monseigneur dit aux Séminaristes la beauté et les exigences de leur vocation. » (Le Bulletin diocésain, 14 décembre 1919)

1940

« Le Clergé et le Séminaire en 1940 : Un grand nombre de prêtres avaient pu rejoindre leurs paroisses ou leurs collèges après la démobilisation. Il en restait cependant plus d'une centaine derrière les barbelés, cent cinquante en comptant les séminaristes. La rentrée du Grand Séminaire avait été fixée au 1er septembre pour les élèves de philosophie et au 30 septembre pour ceux de théologie. Mais le 6 octobre Mgr Vansteenberghe annonçait dans le Bulletin Diocésain que le Grand Séminaire était réquisitionné et était destiné à devenir une caserne : ' Notre Grand Séminaire avait ouvert ses portes. Cinquante étudiants s'y étaient remis au travail, cinquante autres allaient les rejoindre quand nous fut intimé l'ordre d'évacuer l'immeuble en ayant soin d'abandonner sur place tout son mobilier. ' » (Bernard Goïty, Secrétariat de l'Évêché de Bayonne, Histoire du diocèse de Bayonne, 2007, p. 458)



1974 : Plan de masse avant transformations pour aménagement du conservatoire. Source de ce plan et des suivants : Communauté d'agglomérations


1974 : Rez-de-chaussée, côté est, avant transformations


1974 : Rez-de-chaussée, côté ouest, avant transformations


1974 : Premier étage, côté est, avant transformations


1974 : Deuxième étage, côté est, avant transformations


1974 : Troisième étage, côté est, avant transformations

20131001

Frédéric Sorhaitz — Profil



FRÉDÉRIC SORHAITZ


CHEF D'ORCHESTRE ET DE CHŒUR

direction de chœurs paroissiaux dès l'âge de 14 ans

direction de l'orchestre des jeunes élèves du conservatoire de Bayonne de 1985 à 1992

direction du chœur Elhea de Saint-Palais de 1992 à 1995 (nombreux concerts dont la « Messe de funérailles de la reine Mary » de Purcell en 1995 conjointement avec le chœur Ermend Bonnal de Tarnos et l’ensemble instrumental du conservatoire de Tarnos)

direction de l'Orchestre symphonique de Dax à la fin des des années 1990 (série de concerts dont la Messe en sol de Schubert donnée en 1999 à Dax dans le cadre du Festival d'art sacré)

direction du chœur basque ITSASOA de Biarritz depuis 2002 (voir discographie, filmographie et émissions télévisées ; à noter la direction d'ITSASOA et de l'Ensemble orchestral du conservatoire de Dax réunis en septembre 2009 à la cathédrale de Dax et en octobre 2012 à Cagnotte – Landes – pour des concerts de musique basque)

direction du chœur A Cappella de Saint-Vincent-de-Tyrosse de 2003 à 2014


ALTISTE

Diplômes : Médaille d’honneur de la ville de Bordeaux en 1981 ; admissibilité au CA en 1981 ; diplôme d'État en 1987

Postes : Professeur assistant au Conservatoire de Bordeaux de 1980 à 1982 ; altiste à l'Orchestre régional Bayonne-Côte basque depuis 1984 (voir discographie) ; professeur d’alto au conservatoire de Bayonne de 1984 à 1992 ; altiste du quatuor ARTEAN, fin des années 1980 et début des années 1990 ; altiste à l'Ensemble instrumental des Landes depuis 1992 (voir discographie) ; professeur d’alto au conservatoire des Landes depuis 1993

Concerts avec d’autres orchestres : Orchestre de Pau-Béarn ; Orchestre national de Bordeaux-Aquitaine ; Orchestre philharmonique du Maroc ; Kammer Philharmonia Orchestra du Pays basque ; Ensemble instrumental de Tarbes

Concerts alto-piano (Schumann, Brahms, Bruch, Franck, Enesco, Bloch, Williams) en France, au Portugal et en Suisse


MANDOLINISTE

Avant l'âge de 10 ans, concerts en soliste dans tout le grand Sud-Ouest de la France avec l’Estudiantina bayonnaise

Séries de concerts avec diverses formations comme l’Orchestre symphonique de Dax (Vivaldi : concerto en do), l'Orchestre régional Bayonne-Côte basque et l’Orchestre symphonique de Bilbao réunis (Mahler : Symphonie « des Mille »), l'Orchestre régional Bayonne-Côte basque (Delerue : musique de film), l’orchestre de chambre Ma Non Troppo de San Sebastian (Vivaldi : concerto en do), etc.


COMPOSITIONS

Cri intérieur, pour alto seul ; œuvre créée sous le titre Adolescence le 17 février 1981 à Bordeaux, salle Jacques Thibaud (devenue salle Antoine Vitez) ; œuvre dédiée à Pierre Lefebvre et disponible aux Archives basques de musique (partition et enregistrement)

Aitari (« À papa » en basque), pour chœur, sur un poème de Robert Sorhaitz

Transcriptions et harmonisations pour chœur (lien menant à la liste)


PROFESSEURS

Mandoline : Alfred Darizcuren (1902-1992)

Alto :

Conservatoire de Rouen : André Linale, Mlle Osmulski, Frédéric Sailly, Jacques Watelle, Louis Peslier
Conservatoire de Bayonne : Jean-François Schmidlet, Catherine Boulogne
Conservatoire de Bordeaux : Pierre Lefebvre
Cours privés et académies d'été : Madame Lutz Pecqueux, Colette Lequien, Christos Michalakakos, Tasso Adamopoulos, Yuri Bashmet

Solfège : Jeanne Bazin et Madame Clérambault au conservatoire de Rouen, Mayi Sourdez au conservatoire de Bayonne

Solfège spécialisé : Sabine Lacoarret au conservatoire de Paris (CNSM)

Écriture musicale : Janine Vaubourgoin au conservatoire de Bordeaux

Chant :

Paulette Simard au conservatoire de Bayonne : « Professeur au Conservatoire de Bordeaux depuis 1969, mezzo soprano d'un réel talent. Interprète de Carmen, de La Belle Hélène, de Werther et des œuvres de Menotti, elle explore avec un goût très sûr le répertoire peu usité par les cantatrices françaises qui la conduit à interpréter des pages de Moussorgski et Tchaikowski. » (Edmond Cardoze, Musique et musiciens en Aquitaine, éditions Aubéron, Bordeaux, 1992, p. 188)

• Monique de Pondeau (1928-1988) au conservatoire de Bordeaux : « Cette soprano de grande qualité devint professeur au Conservatoire de Bordeaux après avoir été une des stars de l'Opéra de Paris à la grande époque du chant français. Marguerite de Faust, Violetta de La Traviata, Mireille, Blanche de la Force du Dialogue des Carmélites furent les rôles où elle triompha. Elle se consacra ensuite avec un égal bonheur à la mélodie et à l'oratorio et laisse par ailleurs le souvenir d'une pédagogue exceptionnelle. Elle était l'épouse du chanteur André Dran et la mère du ténor Thierry Dran. » (Edmond Cardoze, Musique et musiciens en Aquitaine, éditions Aubéron, Bordeaux, 1992, p. 184) 

Monique de Pondeau

Monique de Pondeau dans l'air de « Louise » de Gustave Charpentier :



Art lyrique : André Dran au conservatoire de Bordeaux

Direction d'orchestre : Robert Delcroix, lauréat de la Fondation de la Vocation et de 5 prix internationaux dont Besançon, Liverpool et Bruxelles, professeur au Conservatoire national supérieur de Paris, directeur du Conservatoire national de région de Bayonne et de l'Orchestre régional Bayonne-Côte basque, auteur de Le Langage du geste - La direction d'orchestre : Guide et réflexion, éditions Fuzeau, 2006


ÉTABLISSEMENTS FRÉQUENTÉS

Estudiantina bayonnaise, Conservatoires de Rouen, de Bayonne, de Bordeaux et de Paris (CNSM)

DISCOGRAPHIE

1991 - Titre : Grande messe en la bémol majeur D. 678 ; Compositeur : Franz Schubert ; Formation : Orchestre régional Bayonne Côte Basque, Coro Ametsa d'Irun ; Direction : Robert Delcroix ; Enregistrement : le 14 avril 1991 en l'église de Ciboure ; Édition : Forlane ; Distribution : DOM-FORLANE ; Support : CD ; Référence : UCD 16649

1994 - Titre : Prière Symphonique ; Compositeur : Jacques Colson ; Formation : Chœur des moines bénédictins de l'Abbaye Notre-Dame de Belloc, ensemble instrumental ; Direction : Jacques Colson ; Enregistrement : Septembre 1994 - Studio IZ Distketxea ; Édition : Jade ; Distribution France : harmonia mundi ; Support : CD ; Référence : JAD 118 / HM CD 85

1995 - Titre : Symphonie N°2 « Sarajevo » ; Compositeur : Philippe Chamouard ; Formation : Orchestre régional Bayonne-Côte basque ; Direction : Robert Delcroix ; Enregistrement : le 7 janvier 1995 en l'église Saint-Vincent de Ciboure ; Production : SKARBO ; Distribution France : STUDIO SM ; Support : CD ; Référence : SK 3954

1996 - Titre : Felipe Gorritiren Omenez ; Compositeur : Felipe Gorriti (1839-1896) ; Formation : Ensemble instrumental des Landes, Choeur Xaramela ; Direction : Didier Deblonde ; Enregistrement : avril-mai 1996 - église de Sare ; Édition : Elkar ; Support : CD ; Référence : KD-445

1998 - Titre : Kantu Luzea - lumières en pays basque "euskal herriko argiak" ; Compositeur : Jacques Ballue ; Formation : Ensemble instrumental des Landes, quatuor vocal Aritzak, chœurs du Pays Basque ; Direction : Didier Deblonde ; Enregistrement : Juillet 1998 - Chapelle du Collège Saint-François Xavier à Ustaritz ; Édition : Sony ATV Music Publishing ; Support : CD ; Référence : SK 60862

2005 - Titre : Kantuz Bizi ; Formation : Choeur basque ITSASOA de Biarritz ; Direction : Frédéric Sorhaitz ; Enregistrement : 2005 - Salle du Colisée à Biarritz ; Édition : Agorila ; Support : CD ; Référence : AG CD 437 Code AG 910

2008 - Titre : ITSASOA ; Formation : ITSASOA, chœur basque de Biarritz ; Direction : Frédéric Sorhaitz ; Enregistrement : Été 2008 - concerts publics dans les églises de Bidart et de Saint-Jean-de-Luz ; Édition : Agorila ; Support : CD ; Référence : AGCD 564

2014 - Titre : ITSASOA en concert ; Formation : ITSASOA, chœur basque de Biarritz ; Direction : Frédéric Sorhaitz ; Enregistrement : 2011 et 2013 - concerts publics dans les églises de Ciboure, Saint-Jean-de-Luz et Aïnhoa ; Édition : Agorila ; Support : CD ; Référence : AGCD 739


FILMOGRAPHIE

2009 : Huit fois debout de Xabi Molia ; scène du concert tournée avec ITSASOA, chœur basque de Biarritz. Pays : France ; Année : 2009 ; Long métrage, tout public ; Support : 35 mm - Couleur ; Genre : Comédie dramatique ; Durée : 102 min. ; Scénario et dialogue : Xabi Molia ; Montage : Sébastien Sarraillé ; Photographie : Martin de Chabaneix ; Interprètes : Julie Gayet (Prix de la Meilleure Actrice au Festival de Cinéma de Tokyo 2009), Denis Podalydès, Mathieu Busson, Constance Dolle, Kevyn Franchon, Fred Bocquet ; Réalisation : Xabi Molia ; Producteur : Christie Molia, Nadia Turincev, Julie Gayet ; Sociétés de production : Moteur S'il Vous Plaît, Rouge International ; Distributeur pour la France : UFO Distribution ; Vente internationale : Films Boutique ; Date de sortie en salle : 7 avril 2010


ÉMISSIONS TÉLÉVISÉES

Mardi 28 septembre 2010, aux informations de 13h sur TF1, diffusion d'un reportage sur le chœur ITSASOA de Biarritz



Octobre 2012 dans l'émission Vive le Patrimoine sur la chaîne Histoire : reportage sur le chœur ITSASOA de Biarritz




CONCERTS HORS DE FRANCE (par ordre alphabétique)

Allemagne : 2000, Ansbach, concert avec l'Orchestre régional Bayonne-Côte basque

■ Autriche : 1983 et 1984, deux tournées de concerts de musique de chambre 

Belgique : 2009, Ixelles, concert avec le chœur Itsasoa de Biarritz

Canada : Montréal, accompagnement au violon de la chorale de l'Accueil Bonneau

Espagne : Nombreux concerts avec l'Orchestre régional Bayonne-Côte basque ; Concerts avec le chœur Itsasoa de Biarritz ; 2008, Irun, église Santa Maria del Juncal : concerto pour mandoline de Vivaldi avec l'orchestre Ma non Troppo ; 2012, Barcelone, basilique Santa María del Mar : direction de l'ensemble Opus 26 (chœur et orchestre)

Israël : 1995, concerts avec le chœur Entzun d'Hendaye dirigé par Dina Licht

Italie : 2006, Parme, Teatro Regio, direction du chœur ITSASOA de Biarritz

Maroc : 2005 et 2015, concerts avec l'Orchestre philharmonique du Maroc : Casablanca (Cinéma Rialto), Marrakech (Théâtre Royal), Rabat (Théâtre National Mohammed V), Fès (Palais)

Portugal : 1978, tournée de concerts avec le Collegium musicum d'Aquitaine ; 1987, tournée de concerts avec l'Orchestre régional Bayonne-Côte basque ; 2009, récital Alto-Piano à Portimão, église du collège des Jésuites. 

■ Suisse : 2006, Neufchatel, église, récital Alto-Piano